Premiers Pas

Toute réalité, même abstraite, est Mathématique, et peut être décrite par les Nombres.

La Numérologie est l’Art de l’interprétation des chiffres relatifs à la date de naissance, du nom et prénom de l’individu. La numérologie peut se résumer à la théorie que tous les concepts (même abstraits) peuvent être convertis en nombres et que chaque nombre représente un ensemble de concepts liés allant du positif et évolutif au négatif et destructeur. La connaissance de ces chiffres peut être utilisée comme « outils » afin de renforcer nos points forts, guérir et corriger nos fragilités et se déplacer dans le flux de la vie en se nourrissant des énergies et des vibrations de façon plus judicieuses et plus adaptées à nos besoins.

La Numérologie introduit une notion « d’éthique » fondée sur du Sens et non fondée sur la notion de loi.

Tout est UN

L’alphabet de la langue des Nombres : la « Parole Perdue »

Cet alphabet est très simple à retenir puisqu’il se compose : 
– des 9 premiers nombres entiers : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, et 9
– des 3 figures mères en géométrie : le cercle, le triangle et le carré;
– des 3 idées universelles suivantes : Dieu, l’Homme et l’Univers.

Mais de même qu’il nous a fallu apprendre les lettres de l’alphabet pour pouvoir lire ces lignes, de même il nous faut posséder l’alphabet de la langue des nombres pour pouvoir l’interpréter convenablement.
– tous les nombres se réduisent aux 9 premiers 
– tous les nombres peuvent être visualisés géométriquement dans l’espace 
– il est possible de construire toutes les formes géométriques à l’aide d’uniquement trois figures mères.

Si nous arrivions à attribuer à chaque nombre l’idée-clef qui le caractérise, la forme archétype qui le symbolise, alors, deviendrait-il possible, par analogie, de générer l’ensemble des idées à partir des 3 idées principales citées plus haut ?
La Géométrie Sacrée révèle le véritable sens des Symboles.
Chaque forme géométrique a un sens, et le langage des formes ne devient clair et lisible qu’à la lumière des Nombres.
Alors ces derniers se mettent à parler et ce qu’ils nous révèlent est proprement stupéfiant.
Avant toute chose, il faut distinguer l’étude quantitative des Nombres pratiquée par les mathématiciens actuels, de l’étude qualitative telle qu’elle était poursuivie dans les centres d’initiation de l’Antiquité.
La seconde distinction à établir est de ne pas confondre les Nombres qui sont des Êtres, avec les chiffres qui sont leurs habits. Un nombre figuré par un caractère chinois, ou sanskrit, ou romain, ou typographique actuel est toujours lui-même.

Le chiffre ; mot arabe sifr veut dire « vide », ce qui nous renvoie au Zéro.
Le chiffre est l’expression graphique du Nombre.

Nombre Un = Lettre A

Le nombre Un par exemple a successivement été représenté par une entaille dans un os, un petit caillou, un hiéroglyphe (égyptien), un idéogramme (maya ou chinois), une lettre de l’alphabet (ex : א en hébreu ou Α en Grec), un caractère romain (le chiffre I).

Lettre A = Chiffre 1

La graphie des chiffres (1, 2, 3, …) que nous utilisons aujourd’hui pour le calcul (système décimal), est d’origine indienne et nous a été transmise par les arabes au Xe siècle.

Le Nombre Divin, ou Nombre Pur, ou Nombre-Idée, et le nombre scientifique.
Le premier est naturellement le modèle idéal du second. Mais parce que les formes (dépendant de quantités, de qualités et d’arrangements) sont dans le monde matériel, les seules choses permanentes, et que leur structure est leur seule réalité, le Nombre Pur auquel elles se réfèrent sera aussi, plus généralement, le Principe, l’Arché ou arché-type directeur de tout l’Univers créé.


Matila Ghyka nous apprend dans Le Nombre d’or que Nicomaque de Gerase (200 ans av J.C.) dans « Son traité de la théorie des nombres » distinguait 2 types de nombres.

Le nombre géométrique ou l’art du trait, permet la représentation visuelle du nombre dans l’espace à l’aide des 3 figures mères de la géométrie : le cerclele triangle et le carré.
Construire l’image du nombre permet de soulever une partie du voile d’Isis, de percevoir enfin la Nature dans toute son œuvre, de retrouver la Parole perdue ou le véritable sens du Verbe ou Logos.

Nombre 1 = • (un point)

Compte tenu du parallélisme total entre arithmétique et géométrie, il est en effet possible de visualiser le nombre dans l’espace à l’aide de points, ou cailloux (calculi en latin), en fonction du nombre d’unités qu’il contient :

1 point pour le nombre 1
2 points pour le nombre 2, la ligne (1D)
3 points pour le nombre 3, le triangle (2D)
4 points pour le nombre 4, le tétraèdre (3D)

Les nombres figurés forment la passerelle entre arithmétique et géométrie, ou entre les nombres et les formes.
Le symbole est avant tout idéographique. Il est d’inspiration géométrique, et il fait appel au langage graphique et non plus au langage écrit.
Ce “langage de l’image”, que les Anciens concevaient comme un langage à part entière, possède son alphabet et sa grammaire. Il ne reste malheureusement que peu de traces de cet enseignement, traditionnellement oral, car réservé à certains initiés, sous le nom des « Mystères« .
Le Nombre se visualise dans l’Espace.
Cette méthode de calcul basée sur l’emploi de petits cailloux, a été employée depuis la haute Antiquité (avant l’invention de l’écriture) et remise au goût du jour en Grèce par l’École de Pythagore.
Bien que les sources écrites soient rares, l’enseignement du Maître étant principalement oral, on en retrouve la trace dans les écrits de Platon, notamment dans le Timée, pour qui « les nombres sont le plus haut degré de la connaissance » et dans les textes de ses disciples comme Speusippe (407-339 avant J.C.), neveu de Platon. Il semble être le premier à faire correspondre Un avec le point, Deux avec la ligne, Trois avec le plan et Quatre avec le volume

Pour plus d’information consulter le site suivant

La Symbolique des Chiffres

Dans la Symbolique traditionnelle, la droite est reliée à la polarité masculine et la courbe à la polarité féminine.

– La droite horizontale : Elle représente notre plan terrestre, « plat » par son horizon et sa stabilité apparente. C’est une structure d’accueil de notre matière dont elle est le symbole. Elle est aussi le symbole masculin.

– La droite verticale : Elle représente l’Esprit Divin. Elle est une descente de ce « qui est en haut » en reliant le supérieur et l’inférieur. Ce qui est debout, à l’image de l’humain, est ce qui est doué d’esprit, d’intelligence, étant le lien entre le monde divin et les mondes inférieurs. Regardez la symbolique de l’arbre, ce pilier vertical qui est, dans les traditions, le lien entre le ciel et la terre et vénéré comme tel.

– La diagonale : Elle désigne un mouvement, qui est une progression ou une ascension selon le sens du tracé. Ce mouvement peut être un mouvement temporel ou une capacité d’action, de faire.

– La demi-sphère : Matrice. Elle est le symbole de la féminité en attente de fécondation.

– Le demi-carré : Il symbolise l’homme dans sa polarité incomplète. Ce carré que l’on devine, c’est son côté cartésien, « carré », et pourtant tronqué de moitié car il lui manque son autre moitié.

– Le cercle : Il représente un tout fini, complet et parfait, autonome, et pourtant cerné par sa propre limite. Il contient son propre espace, c’est un contenant et un contenu.

Namaste


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